THANK YOU LONDON

MERCI

Je ne pourrais commencer ce billet qu’en te disant Merci.

Merci à toi, celle avec qui je partage ma vie depuis plus de 3 ans, et qui m’a offert ce voyage.

Et si on commençait par le commencement. 

Ce moment où tu m’as dit, Chouchou, bloque ton week-end du 31 juillet, on part. 

Oui d’accord Bouille, mais on part ou? Ça, tu ne le sauras pas.

MAIS, oui, il y a un MAIS ! La surprise a dû être dévoilée. Parce qu’il a fallu me demander si je pouvais créer du contenu là-bas.

Et heureusement, parce que quand Yo m’a dit : on part pour Londres, j’ai d’abord été aux anges, parce que c’était un retour 3 ans en arrière lors de notre premier voyage ; mais ensuite, une douche froide ! Il faut un passeport.

Dans l’après-midi, tout était booké : rendez-vous à la mairie, lettre d’urgence, réservation de l’hôtel.

Et si je vous écris ces mots depuis un A320 sur le chemin du retour à 10 000 mètres, c’est que nous sommes bien partis !

Un séjour encore une fois unique.

Londres. Ma belle Londres.

Merci de nous laisser nous perdre au fond de tes quartiers, au travers de tes ruelles et nous abandonner dans tes pubs plus bruyants et maltés les uns que les autres.

Ce voyage, c’était une reconnection. Un moment de bien-être au milieu de nos vies remplies.

Qu’avons-nous fait vous allez me dire. Nous avons marché. Beaucoup marché. 100 kilomètres. 4 jours.

Je ne compte pas les pas, je pourrais le faire, mais est-ce que le nombre est important, j’en doute.

Jour 1. Une découverte : Kew Garden. Un parc remplit de 30 000 espèces de plantes différentes ; un haut lieu de la botanique mondiale. Ne connaissant que guère de plantes, nous nous sommes laissé emporter au grès de nos envies d’arpenter ces immenses serres.

Mais un voyage à Londres commence aussi par un brunch digne de ce nom. Ce que nous avons pu faire, je devrais même dire DU faire; face à cette immense serre pleine d’essence naturelle.

Cette parenthèse nous a permis de se rendre (ou se perdre, je ne sais pas) dans le cœur de Londres. Pour enchaîner avec Notting Hill. Ne cherchez pas Julia, impossible de tomber dessus. Mais par contre ces collections de maisons colorées, elles, on les voit !

Jour 2. Au revoir Londres? Bonjour Brighton. Ville côtière, en face de notre chère France. Un air de Venice Beach à l’Anglaise. Soyons honnête ; la journée est amplement suffisante pour y faire le tour. Mais déambuler sur cette jetée, pleine à craquer des churros, bonbons et autres sucreries, c’est agréable.

Une parenthèse de créativité.

Mais nous ne pouvions pas laisser les briques rouges et les rues pavées de Londres trop longtemps. Big Ben nous attendait et London Eye nous observait.

En se promenant sur les quais de la Tamise, l’ambiance était là. Les photos aussi.

Jour 3. Welcome London. Si nous avions abandonné Londres, c’était pour mieux y revenir. Et c’est chose faite. Nous ne pouvions pas louper le Musée d’histoire naturelle avec ce squelette de baleine qui trône dans l’entrée. Petit tour fait, en passant par l’aile de Darwin nous avons continué en échouant à Holy Village. N’y allez pour se balader, c’est une série de maisons d’hôtes, assez flippante, soit dit en passant.

Si voyager à Londres c’est de boire une bière dans un pub, c’est aussi aller à Camden. Et pour nous Camden c’est le photomaton. Pour l’histoire, il y a 3 ans nous étions partis pour Londres (une surprise de ma part à Yona cette fois), et nous avions fait une photo là-bas qui nous accompagne depuis, sur notre frigo. On a refait donc la même, et en comparaison, nous n’avons pas pris une ride.

Ce quartier punk, ou le rock n’est pas mort (et si Eddie, il y a encore des rockeurs…) nous plonge dans un univers de cuir, de musique et d’éclectisme. De la Crète verte aux bobs Rick & Morty, tout y passe.

Jour 4. End. Enfin, une fin qui annonce un début. 100 kilomètres au compteur, des cartes mémoires pleines à craquer et des souvenirs gravés à jamais, c’est ça Londres.

On y retournera. On ne sait pas quand. On ne sait pas à combien… mais on y retournera. Parce que c’est notre parenthèse, notre méditation, notre dope.

C’est LONDON BABY.

Merci.

Je t’aime.

THE ROLL

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